Le 11 mai Camilla Huseynova, la lauréate du prix "Zirva "et "Qızıl dərviş" a terminé ses activités de 20 ans par intervention au ballet « Shéhérazade » de Nikolaï Rimski-Korsakov. Pour la plupart amateurs d’art, c’est devenu un moment inattendu. Avant son spectacle final nous avons eu une conversation avec elle.
- Madame Camilla Huseynova, tous les amateurs du ballet attendaient que vous allez continuer à ravir ses fans.
- Ballet est un art dans lequel il n’est pas possible d’avancer sans amour à celui. Bien sûr, aucun de ceux qui aime la scène, ne veut pas la quitter. Pour un homme qui a atteint quelque chose dans le ballet c’est un processus psychologique très complexe. Mais il arrive un moment où le corps ne peut pas complètement être responsable du chargement. Mais bien sûr, le désir de danser restera avec moi pour toujours.
- Je pense que sur votre choix a influencé aussi et votre désir de quitter la scène au sommet de la gloire...
- Je ne vais pas cacher, oui c’est ça aussi. Je voudrais que le public me souvient comme la danseuse, la ballerine actif. Il y a un moment où l’artiste quitte la scène, il laisse après lui un récepteur. Je ne pense pas à ce sujet. Nous avons assez jeunes capables avec le désir et il vont accomplir de façon adéquate tous les rôles principaux du ballet. Je serai heureuse de leur succès.
- Vous vous souvenez probablement votre premier rôle?
- Mon premier grand rôle fut dans le ballet «Roméo et Juliette». J’ai tellement aimé la façon de Juliette. Je voyais même dans son sommeil comme je danse ce rôle. Les plus favoris parties étaient-Carmen («Carmen-Suite»), Gulyanag («Tour de la vierge»), Giselle («Giselle»). En termes de répertoire, j’ai été chanceuse. J’ai effectué les œuvres lyriques et dramatiques.
Quelles activités avez-vous maintenant?
- J’ai consacré ma vie au ballet. J’enseigne la chorégraphie.
- La plupart des danseuses se sacrifient à l’art. Mais il arrive trop tard. Mais je sais que vous avez une fille.
- Oui. Sofia et elle a 9 ans.
- Vous vous inquiétiez qu’après devenir une mère votre carrière seterminera?
- Bien sûr. Je pris le risque. En general la plupart des ballerines ne peuvent pas retourner à sa forme après le décret. Moi, malgré toutes les difficultés, dans un court temps j’ai pu restaurer ma forme précédente.
- Votre fille ne voulait pas continuer votre chemin?
- Vous savez, je ne le vois pas ce fanatisme à elle, comme je l’ai. Elle aime danser, regarder avec un grand intérêt à mes performances. Elle regarde ma vie d’art du salon. Elle n’ai pas tombé amoureuse au ballet. Elle a simplement un penchant pour la créativité.
- Quels plans avez-vous en tant que chorégraphe?
- Dans l’art musical de l’Azerbaïdjan il y a certainement le nombre de œuvres oubliées. Je tiens à rétablir leur stade de développement.
..... et il s’agit du dernièr spectacle...
Disont à cette belle orientale, artiste du peuple de l’Azerbaïdjan Camilla Huseynova: Toutes les bonnes choses dans la vie a sa fin. Telle est la loi de la vie!Nous attendons votre succès en tant que chorégraphe!
Gulcahan Mirmamed
“Le Carrefour”